Dans la dernière lettre, nous vous avons alerté sur une disposition législative détectée par Canopée qui visait à favoriser les coopératives face aux gestionnaires forestiers indépendants. Or, c’est chez les coopératives que l’on trouve l’essentiel des sylvicultures délétères pour l’environnement notamment le système monoculture /coupe rase. Les coopératives sont incitées à proposer le mode de sylviculture générant le plus de travaux forestiers par leur situation de conflit d’intérêt. En effet, elles jouent un rôle de conseil sur la sylviculture à conduire et effectuent les travaux ensuite. Il se trouve que les travaux forestiers sont beaucoup plus importants et rentables avec le système monoculture / coupe rase qu’en sylviculture douce…
Bruno de l’association Canopée vous détaille en vidéo comment la bataille a été gagnée à l’Assemblée en partie grâce à vous :